posté le 03-12-2013 à 21:32:47

"La garçonnière" d'Hélène Grémillon

 

 

 

Coup de coeur

 

 

 

Résumé : 

 

1986, Buenos Aires. Eva Maria apprend un jour que son psychologue, Vittorio est mis en cause dans l'assassinat de sa femme. Elle ne peut se résoudre à voir en Vittorio un meurtrier. Après une visite au parloir, elle décide de l'aider à trouver l'assassin et enquête. 

  

La femme de Vittorio, Lissandra a été retrouvée défenestrée. Des traces de luttes semblent accuser son mari avec qui les disputes devenaient de plus en plus virulentes. Il est donc mis en garde à vue puis arrêté. Mais Eva Maria ne peut croire en la culpabilité de Vittorio. Grâce aux clefs de son appartement, elle va se procurer les enregistrements audios des consultations qu'il a tenues avec ses patients. Le lecteur entre alors dans l'intimité de ces clients qui ressentent tous un mal-être profond. Et si l'un d'entre eux était le tueur de Lissandra ? Eva Maria écoute toutes les cassettes et les transcrit minutieusement sur papier pour les restituer oralement à Vittorio. 

En parralèle de l'enquête, on en apprend davantage sur le personnage de Maria. Depuis la disparition de sa fille (vraissemblablement éliminée par la junte militaire), elle est rongée par le chagrin. Son fils Esteban, quant à lui, ne réussit pas à lui redonner le goût de vivre. Tous les soirs, elle noie sa peine intense dans l'alcool. Esteban assume comme il le peut cette maman qui n'en est plus vraiment une.

 

Dans ce roman, rien n'est laissé au hasard. L'auteure fournit des détails qui semblent a priori sans importance mais dont la présence est en fait capitale. L'écriture d'Hélène Grémillon est fine et délicate mais sait se faire puissante ou sans concession. Elle décrit parfaitement les sentiments humains et raconte ici la détresse intense et les errances de l'âme de ses protagonistes. La psychologie des personnages est très fouillée, l'intrigue adroitement travaillée et le point de vue adopté par l'auteure judicieux. En suivant ainsi le personnage de Maria, le lecteur ne peut qu'être surpris par la tournure que vont prendre les évènements. A la manière d'un polar, ce roman psychologique ne nous quitte plus.

 

A la lecture de La garçonnière, j'ai ressenti une extraordinaire palette d'émotions. Ce roman est tiré de faits réels. C'est peut-être pour cette raison que j'ai fini cette lecture avec un sentiment de mélancolie terrible. J'ai également ressenti une profonde injustice. J'aurais espéré une fin différente, une fin en adéquation avec "celle qui hurle" (page 323). Malheureusement, l'achèvement est terrible...

 

De ce roman, je suis sortie bouleversée et marquée. Il me reste en tête depuis plusieurs jours et plusieurs nuits. Lisez-le. 

 

Merci aux Matchs de la rentrée littéraire et aux éditions Flammarion pour cette superbe lecture !

 

MA NOTE 18/20

 


Commentaires

 

1. eimelle  le 20-12-2013 à 21:02:25  (site)

Je viens de lire Le confident, j'ai bcp aimé, je pense continuer avec celui-là dans quelques temps!

2. Liliba  le 22-12-2013 à 16:54:48  (site)

A tes ordres !!!! Je compte bien le lire, mais je ne l'ai pas encore eu sous la main...

3. ulaz  le 22-12-2013 à 17:27:21  (site)

@eimelle : Je n'ai, pour ma part, pas encore lu "Le confident" mais cela ne saurait tarder ! J'espère que tu ne seras pas déçue par celui-ci...
@liliba : Tu m'as bien fait rire !!! J'espère que tout le monde a bien compris qu'il s'agit plutôt d'un conseil !!! Le mien est déjà en prêt pour plusieurs personnes mais si tu n'es pas pressée je peux te prévenir quand il reviendra...

4. harfang  le 04-01-2014 à 17:43:03  (site)

Et bien ça a l'air assez haletant !
Bonne année Clin doeil avec des bises

5. Booklab  le 22-09-2014 à 10:31:21  (site)

Agatha Christie à la sauce argentine?
En tout cas, il a l'air pas mal le livre, merci pour la découverte. Clin doeil1

 
 
 
posté le 17-11-2013 à 08:27:11

"Pour Invalides, changez à Opéra" de Stéphane Ronchewski


  

Un doubleur de films quitte son travail et devient contrôleur à la RATP. Il aime le métro, la foule et ses collègues (surtout féminines). Malgré le déclin de son salaire, il semble s'y plaire. Mais il est difficile de comprendre ce qu'il vient chercher dans les sous-sols du métro parisien.

 

Pour Invalides, changez à Opéra est le premier roman de Stéphane Ronchewski. Un roman teinté d'humour (parfois grivois) mais aussi de mélancolie et d'espoir, et de quête de soi-même et des autres. C'est un roman fantaisiste de par son thème original et son style incisif.

Le protagoniste-narrateur sait faire preuve d'autodérision et j'ai apprécié cet humour sans faille même dans des situations parfois pénibles pour lui-même. Il m'a fait sourire plus d'une fois :

 


« J'enfile le pull réglementaire par-dessus ma chemise ensanglantée. Il ferait presque chic, s'il n'y avait ce petit machin RATP turquoise, cousu sur le téton. Tant pis. La nuit les gens prendront ça pour du Ralph Lauren. » 

 


« Jeunes oisifs, on calquait notre rythme sur le sien. Lui ne dormait jamais. Requin blanc dans son aquarium, il tournait dans sa grande maison, peignait jour et nuit, portant Jade sur son torse nu. Un requin kangourou. » 

 


C'est cependant un personnage très ambigu et pour lequel j'ai mis du temps à ressentir de l'affection. Pendant une bonne partie de ma lecture, je l'ai trouvé misogyne sur les bords et, a contrario obsédé par les femmes et le sexe. Tout comme pourrait l'être un célibataire frustré par des années de solitude ou de déceptions. Pourtant, cet homme a une vie rangée : une femme, Élisabeth et des enfants. J'ai eu un peu de mal à entrer dans son histoire justement à cause de ce ressenti que j'avais envers lui. Mais au fil des pages, on découvre que le couple qu'il forme avec sa femme est vraiment particulier. Et ce n'est qu'à ce moment là que j'ai réussi à (presque) le cerner.


Il n'est pas heureux, pas épanoui, comme spectateur de sa propre vie. Les raisons qui l'ont poussées à quitter son boulot pour devenir contrôleur à la RATP n'appartiennent qu'à lui. Et même si on comprend qu'il souhaite changer de vie, c'est un choix que l'on a du mal à saisir, au départ. S'il souhaite repartir de zéro, pourquoi ne pas tout quitter ? Car ses enfants sont importants à ses yeux, même s'il n'est pas un papa parfait. Et pour tout quitter, il faut avoir beaucoup de courage. Mais il veut changer la donne, acquérir enfin un contrôle sur ses actes et sur sa personne. Faire de nouvelles connaissances va lui permettre de se donner de l'importance aux yeux des autres, d'exister à travers leurs regards.

 

Pour Invalides, changez à Opéra est un roman à l'humour amer qui sait aussi émouvoir.

 

Merci à Babelio et aux Editions de la Martinière pour cette découverte. 

 

 

 


 
 
posté le 24-10-2013 à 16:32:28

"Le divan de Staline" de Jean-Daniel Baltassat

 

 

Résumé : 

 

1950, Staline se retire dans un palais en Géorgie, ce pays qui l'a vu naître. Le "Petit père des peuples" y fait venir Lidia, sa maîtresse de longue date. Cette dernière insiste pour que se joignent à eux Danilov, un artiste qui va leur exposer son illustre projet visant à célébrer la gloire éternelle de Iossif Vissarionovitch Staline.

 

Autant le dire tout de suite : j'ai éprouvé des difficultés à lire ce roman. Ma lecture a été laborieuse. Je pense que ce qui m'a le plus gênée, c'est de m'être sentie étrangère aux évènements et aux personnages pendant toute l'histoire. Staline est un personnage inaccessible. Il fait régner la terreur partout où il se trouve et s'en réjouit. Il a d'emblée installé autour de lui des barrières qui semblent infranchissables pour le reste du monde, qu'il s'agisse d'inconnus, de collaborateurs ou même de proches. L'auteur impose donc une distance entre Staline et le lecteur. Ce procédé se comprend et se justifie... Mais les autres personnages m'ont semblé tout aussi distants et insaisissables. Tout comme les évènements décrits par l'auteur.

 

Le roman est long au démarrage. La première partie, très descriptive ne comporte que très peu de dialogues et s'étire en longueur. Ceci dit, l'auteur possède un style qui lui est propre, un style particulier dont l'écriture fourmille d'énumérations, de descriptions ou de digressions.

 

Ce roman est très bien documenté. Baltassat connaît son sujet sur le bout des doigts : cette période historique n'a aucun secret pour lui et il maîtrise toutes les subtilités des relations entre les personnages. Malheureusement, ce n'est pas forcément le cas de son lecteur (en ce qui me concerne, en l'occurrence !)... Il n'est pas toujours évident de s'y retrouver entre les surnoms des uns et des autres, leurs attributions ou les relations qu'ils entretiennent vis-à-vis de Staline. Je me suis parfois sentie perdue. Mieux vaut maîtriser un tant soit peu le sujet pour savourer pleinement cette lecture.

 

La seconde partie du roman nous plonge dans un huis-clos malsain et étouffant. Atmosphère bien rendue par l'auteur qui utilise tous les stratagèmes pour alourdir l'ambiance du récit. Staline, face à ce jeune artiste totalement désemparé nous dévoile que ce roman traite aussi de l'emprise et du mensonge.

 

Jean-Daniel Baltassat signe ici un roman au thème peu commun et au style bien particulier. Le divan de Staline est un livre pour lequel j'ai eu du mal à accrocher mais dont je reconnais les qualités indéniables.

 

 

Merci à l'opération Masse critique et aux Editions du Seuil pour ce partenariat.

 

 


 
 
posté le 22-08-2013 à 13:15:18

"Wonder"" de R. J. Palacio

 

 Wonder

Raquel Jaramillo Palacio

Pocket jeunesse

03/01/2013

 

  

Ne jugez pas un livre garçon

sur sa couverture son apparence

 

 

Résumé :

 

Wonder, c'est l'histoire d'un petit garçon, August surnommé Auggie. Auggie est né avec de sévères malformations physiques. Son visage a subi de multiples interventions chirurgicales depuis sa naissance mais malgré cela, il lui restera toujours de terribles séquelles. C'est à cause de tous ces séjours à l'hôpital qu'Auggie n'est jamais allé à l'école. Mais sa maman lui propose un jour d'entrer au collège. Après quelques tergiversations, August accepte de faire sa rentrée de 6ème au collège Beecher, pour lequel il a réussi les tests de sélection. Ce collège est réputé et il faudra travailler dur. Mais ce qui tracasse le plus Auggie, ce n'est pas son niveau scolaire, c'est le regard des autres sur sa différence.

 

 

A travers ce récit, Auggie nous décrit son handicap. Un visage déformé, reconstruit, recousu, et abîmé. Alors forcément, il ne passe pas inaperçu... Surtout auprès d'adolescents pas toujours très tendres. Evidemment, à l'école, ses débuts ne sont pas faciles. Il est sans arrêt montré du doigt et victime de médisances. Auggie subit quolibets et brimades, mais quelques gamins se prennent tout de même d'affection pour lui.

 

Et heureusement, sa famille est là quand ça ne va pas. (Oli)Via est une grande soeur attentionnée et dévouée, son papa et sa maman sont des parents surprotecteurs mais aimants quoiqu'il arrive. J'ai beaucoup apprécié suivre Auggie chez lui, entouré de sa famille très soudée. Cela m'a rassurée de constater que ce petit garçon n'était pas seul au monde. Car chaque sortie est pour lui une épreuve. Tous ces gens qui le scrute, le dévisage, c'est pour lui maintenant devenu une habitude, mais une habitude très difficile à accepter. Sa famille est là pour le soutenir et le défendre de toutes ces agressions extérieures. En ce sens, ce roman évite le pathos, à mon soulagement. Auggie n'est pas qu'un petit garçon rejeté et mal aimé, bien au contraire. La situation d'Auggie est triste, mais au delà de ça, l'auteure nous montre aussi les bons moments, des instants drôles, tendres ou décalés que vit ce garçon. Et j'ai beaucoup apprécié qu'August se prenne en main pour mener la vie qui lui plaît. J'ai ressenti énormément d'empathie pour ce petit garçon au courage exemplaire. Ce personnage est, à l'évidence passionnant.

 

Wonder sait être pudique et touchant tout en restant juste et réaliste. Car il est criant de vérité. Oui, la différence ça choque, ça fait peur à beaucoup mais non, il ne faut pas se borner à ses a priori et non, Auggie n'est tout compte fait pas si différent des autres enfants. C'est tout cela qu'aborde ce roman : la peur de la différence, la tolérance, l'acceptation de soi et des autres, ...

 

L'un des autres points forts de ce roman, selon moi, est l'utilisation de la polyphonie. Tour à tour, plusieurs personnages de l'entourage d'August deviennent narrateurs. Ils donnent alors leur point de vue sur leur relation avec le jeune garçon et les sentiments qu'ils éprouvent envers lui. C'est un procédé que j'apprécie dans les romans en général et dans celui-ci en particulier. En plus du rythme apporté au récit, il nous permet de comprendre les réactions (parfois étonnantes) des personnages et leur attachement particulier envers Auggie. Petite subtilité : l'auteure ne donne pas la parole aux adultes. Les narrateurs sont uniquement des adolescents et, par ce biais, le lecteur voit August à travers des yeux d'enfant. C'est très judicieux car en tant qu'adulte, nous avons une perception totalement différente du handicap d'Auggie. Enfin, ce procédé permet au lecteur de développer une empathie très forte envers tous les personnages qui s'expriment.

 

La plume de Palacio est tendre, jolie, fluide, efficace, juste et pertinente. Ce roman est un coup de cœur (partagé si on en croit le nombre de critiques élogieuses sur internet) que je suis ravie d'avoir découvert et que je recommanderai avec joie aux lecteurs de la bibliothèque dans laquelle je travaille ! ... Qu'ils soient jeunes (dès 12 ans) ou beaucoup moins !

 

MA NOTE : 9/10

 

 


Commentaires

 

1. pinly  le 22-08-2013 à 17:38:07  (site)

Il m'avait également beaucoup plu !

2. harfang  le 02-09-2013 à 12:04:25  (site)

ça a l'air intéressant... pas pire que le regard des autres surtout à l'adolescence !
plein de bises Sourire

3. ulaz  le 02-09-2013 à 15:13:02  (site)

@harfang : Bien d'accord avec toi !

4. harfang  le 25-09-2013 à 15:58:41  (site)

de passage
des bises
Sourire

5. passionphotos  le 27-09-2013 à 22:08:07

hello je découvre ce blog. dommage que les autres catégories ne soient pas mises à jour car l'idée est sympa

Bonne soirée

6. harfang  le 08-10-2013 à 15:58:31  (site)

une bise en passant

 
 
 
posté le 29-07-2013 à 13:10:09

"Des vies derrière soi" de Maxine Alterio

 

 Lu dans le cadre de l'opération "Masse Critique" de Babelio que je remercie,

tout comme les éditions Prisma.

 

Un mot de l'éditeur :

 

"Juillet 1915. Le navire-hôpital Maheno quitte Wellington pour emmener vers les champs de bataille 70 infirmières néo-zélandaises. Parmi elles, Adelina Harrigton et Meg Dutton se retrouvent dans la même cabine. Addie, issue d'une famille unie et aimante, est réservée, tout le contraire de Meg, jeune femme coquette qui ne résiste pas au plaisir de s'amuser et va l'entraîner dans son tourbillon. Alors qu'elles servent auprès des soldats blessés, en Egypte, puis en France, va se nouer entre les deux jeunes femmes une amitié qui résistera à toutes les épreuves."

 

Ce roman raconte l'histoire peu singulière du travail des infirmières de guerre. De nationalité néo-zélandaise, ces volontaires vont se rendre en Egypte puis en France pour venir en aide aux nombreux soldats blessés.

 

On suit ici principalement deux protagonistes : Addie et Meg, qui, a priori n'ont absolument rien en commun. Addie est réservée et introvertie, tandis que Meg est très enjouée et charmeuse. Ces deux personnages aux antipodes vont pourtant se lier d'amitié. Leur relation est le point fort du roman. Il faut dire que les épreuves qu'elles vont traverser ne pourront que les rapprocher. L'auteur brosse le portrait de ces deux femmes. Portraits d'ailleurs touchants et bien dessinés. Je n'en dirai pas tant à propos des personnages secondaires. Leur psychologie est peu fouillée et ils sont décrits superficiellement. Je me suis donc parfois égarée, ne sachant plus vraiment les discerner.
 

Les nombreuses ellipses sont également venues perturber ma lecture. Des évènements porteurs et capitaux sont parfois survolés, ce qui est déstabilisant car ces passages sont abordés de façon trop légère. Les relations personnel médical/patients sont au final peu abordées. On passe davantage de temps avec les personnages lors de leurs loisirs (tourisme et shopping) ou en compagnie de leurs conquêtes amoureuses. J'ai regretté ce parti pris de l'auteure.

 

Pour ces raisons, je me suis sentie détachée de l'histoire pourtant émouvante. Les personnages n'ont pas toujours su me toucher ni m'attendrir.

 

Malgré cela, l'écriture de l'auteure n'est pas désagréable. Elle est même fluide et se lit bien. L'histoire en elle-même nous confronte aux horreurs de la guerre et à leurs conséquences sur les blessés. Et, bien sûr, on en apprend plus sur le métier d'infirmière de guerre, un métier éprouvant et malheureusement pas toujours estimé à sa juste valeur

 

Des vies derrière soi donne un aperçu du travail de ces femmes d'exception, mais cela ne va pas assez loin. On ne fait qu'effleurer le sujet.

 

  

 


Commentaires

 

1. harfang  le 29-07-2013 à 15:08:37  (site)

tu ne donnes pas trop envie de lire ce livre... ma pal est suffisamment haute comme ça Sourire
J-4... ouf
bises la belle

2. dasola  le 17-08-2013 à 09:31:58  (site)

Bonjour Ulaz, ce n'est pas pour dire mais vu l'éditeur "Prisma presse", il ne fallait pas s'attendre à un roman historique très fouillé, ce n'est pas une critique, c'est une constatation. Rien que la couverture du livre fait penser (presque) à un roman à l'eau de rose. Ce genre de roman est pour tous les publics, ce n'est pas de la grande érudition. Mais le sujet est original, c'est déjà ça. Bon samedi.

3. harfang  le 20-08-2013 à 17:22:09  (site)

es-tu de retour ? moi ça y est j'ai rempilé, mais ces 15 jours de pause m'ont fait un bien fou.
Je n'ai même pas eu le temps de lire... première fois que ça m'arrive Sourire
Plein plein de bises

4. ulaz  le 20-08-2013 à 18:55:21  (site)

@harfang : Oui, je suis rentrée de vacances mais encore en congés jusque mardi prochain. Ca m'a aussi fait beaucoup de bien, mais dis donc 15 jours ça passe drôlement vite !
J'ai lu 3 romans durant mon séjour et là j'ai commencé "Wonder", un roman jeunesse très prometteur... A suivre, je publierai mon billet si j'ai un peu de temps

 
 
 
 

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